Le parallèle est amusant en un sens. Mayufu et Umar souffrent toutes deux de leur origine divine, mais alors que Mayufu souffre de la nature même de son parent divin (étrangement l'essence du Seigneur du Meurtre ne la pousse pas fonder des hôpitaux, enfin pas pour les gérer en tous cas), Umar souffre elle du but même de sa création qui de faire un génocide.
Heureux de voir que mon personnage te plaît Enide. J'ai essayé au maximum de donner à Simba un système de valeur qui, bien que différent du sens commun, puisse avoir une logique interne. De façon général, j'aime bien faire des personnages déphasés avec la réalité, ou du moins qui la perçoive à leur manière.
J'aime aussi lire Enide, même si parfois les aspects les plus malsains de son insouciance me font un peu pâlir. Dona aussi semble présenter un grand potentiel, d'autant plus si elle réussit à vraiment commencer des expérimentations sur le sujet qui l'intéresse. ^^