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 Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme

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Wraën
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MessageSujet: Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme   Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme Icon_minitime1Ven 26 Aoû - 2:23

* Pff, quelle bande d'incapables, toujours plus de travail, et toujours moins de personnes pour travailler! C'est à croire que je suis le seul pilier de toute cette bande de décadents! Heureusement que ma place me mène au plus près du pouvoir, sinon tout cela ne serait plus qu'une ruine fumante...*

Le vieil homme descendit des escalier en trombe, parcourut le hall immense à grandes enjambées, puis, l'espace d'une d'une ridicule seconde, s'arrêta, souffla, et, enfin déterminé, il poussa la massive double porte et entra dans la rue baignée de lumière. Une chaleur enivrante l’enveloppa tout aussitôt, elle était comme un réconfort, une caresse. C'est alors que son esprit, en pleine discorde, fut apaisé au fil de ses pas, par un lieu divin qui s'était formé à son insu : les pavés, aux reflets teintés de rose par le ciel agonisant dans sa plus belle parure, donnaient un air de plénitude et de paix dans ces rues rectilignes et presque désertes, comme si Astrune toute entière connaissait un instant de répit, au milieu d'une inondation de pleurs; comme si ce moment tellement improbable par sa magnificence, était une trêve des dieux pour le cœur. La sublime architecture des bâtiments n'était plus qu'un souvenir, car elle n'était plus -les hautes bâtisses se confondaient avec le ciel!- ; le rêve prenait place, ses vieilles lèvres s'étiraient, ses yeux étaient clos, tout était si bon !

Doucement, il baissa son visage marqué par le temps, et ses yeux, d'abord éblouis par la merveilleuse lumière, s’arrêtèrent sur une jeune enfant. Peut-être avait-elle huit ans, neuf tout au plus,  toujours est-il que Wraën ne put s'empêcher de lui sourire: elle avait quelque chose d'un ange. La petite le lui rendit et s'approcha d'un pas assuré, sans pour autant manquer de charme :

- Aujourd'hui, mon panier est rempli de fleur, s'exclama-t-elle enjoué, et je ne les vend qu'aux gens tels que vous !

- Mmmh, je vois, répliqua Wraën pensivement, et les fleurs étaient-elles écloses ?

- Oh oui ! Et les pâquerettes étaient nombreuses aujourd'hui !

- Très bien, très bien... voilà pour toi !

Le fonctionnaire tendit une pièce argentée à la petite fille qui lui donna une merveilleuse rose rouge en échange :

* Je suis gâté aujourd'hui ! pensa-t-il, et que de bonnes nouvelles ! Voilà qui égaiera la soirée, et repoussera quelques barrières plutôt encombrantes !*

L'homme porta délicatement la rose à son flair, humant le doux parfum de sa réussite. Il finit par abaisser la dame à la corolle suite à une pensée embaumée de suaves odeurs, et s'en fut vers le cimetière de la ville. On l'y attendait, et ce rendez-vous ne pouvait être reporté, mais quelque chose lui donna une irrépressible envie de se retourner...

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MessageSujet: Re: Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme   Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme Icon_minitime1Sam 3 Sep - 16:25

Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme Conta10

La politique était un poison face auquel l'esprit ou le corps finissaient toujours par succomber. Et pourtant, contre toute logique, il subsistait encore des vieillards au sein de cette organisation bien rodée. Karlan, Wraën ainsi que quelques autres, avaient depuis longtemps passé le cap du troisième âge. Mais ils étaient toujours dans le coup, en définition ; le rôle qu'ils occupaient ne pouvait donc être ignoré par les plus jeunes. Anric en était parfaitement conscient, c'était d'ailleurs pour cela qu'il avait fixé d'un rendez-vous avec l'ancêtre Wraën, au cimetière. Ce n'était pas la première fois que le vieil homme répondait positivement à ce genre de requête, ainsi, Anric ne fut guère étonné lorsqu'il le vit apparaître à l'entrée de la nécropole. Il était légèrement en retard, chose étonnante lorsqu'on avait eu vent de son côté pointilleux !

- Un peu plus, et vous vous faisiez désirer, sieur Wraën. S'annonça le jeune homme, cigarette en bouche. Permettez-moi de me présenter, je suis le duc Anric, fils légitime du seigneur Darenk.

En garçon bien élevé, Anric conduisit son invité jusque dans un coin plus reculé du cimetière, il ne fallait surtout pas que des oreilles indiscrètes s'en viennent à épier cette conversation.

- Pardonnez-moi cette convocation anonyme et si soudaine, par ailleurs, je vous en sais gré d'y avoir répondu. Mais voyez-vous... je préférais ne pas courir le risque de m'exposer ! Vous savez, quand on doit faire quelque chose qui va à l'encontre des lois, il est préférable de se faire discret, vous en conviendrez ? Au fur et à mesure de ses paroles, la voix d'Anric se faisait plus dure. Darenk est très remonté contre votre gouvernement, voici près d'un mois qu'il mendia de l'aide auprès du gouverneur Vultinien, et jamais ses suppliques n'eurent de réponse ! Alors, j'ai décidé d'agir de mon propre chef, car auquel cas vous ne l'auriez pas encore remarqué, nous sommes en guerre ! Quelque chose oeuvre dans l'ombre à des fins destructrices, et cela doit être refoulé dans les plus brefs délais. Ainsi... permettez-moi de vous présenter le futur sieur Wraën !

Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme Ggg10

À la suite de ses dires teintés d'évidentes menaces, un autre papy en tous points semblable au physique décrépi de Wraën, s'extirpa d'une crypte à moitié délabrée. S'avançant depuis le dos d'Anric, le sosie du vieil homme esquissa un sourire malsain à l'égard de son double, comme si une mort prompte l'attendait !

- Une potion concoctée par notre propre guilde, voyez son efficacité ! Vos proches n'y verront que du feu ! Révéla t-il au travers d'un petit rire sournois. Vous comprenez donc que ce rendez-vous n'est autre que celui de votre trépas ! LIQUIDEZ-MOI ÇA !

Et oui, il fallait se débarrasser de lui afin que le faux Wraën puisse prendre sa place au sein de la villa du gouverneur. Ainsi, quatre hommes armés de dagues et coutelas, surgirent depuis leur cachette de façon à pouvoir fondre sur le vieillard. Hélas, ce que tous ignoraient, était que ce dernier n'était jamais seul !

Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme Ass10

Toujours tapi dans l'ombre, un assassin veillait personnellement sur la sécurité de Wraën. Ce dernier était l'un des meilleurs en matière de protection et d'attaques sournoises. Ce fut pour le cela que dés l'instant où son maître se fit surprendre dans un guet-apens, ce dernier se rua littéralement sur Wraën, afin de le tirer en arrière !

- Woo ! Mais qui c'est ça ?! Gronda Anric.

Sans ordres ou attaques directes de la part des ennemis, l'assassin restera sans bouger au devant de son maître. À savoir que ce dernier avait peut être une autre sentence que la mort pour ces traîtres !

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MessageSujet: Re: Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme   Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme Icon_minitime1Mar 27 Sep - 0:33

... Le vieil homme finit par se raviser et continua sa route.

Ainsi, apparurent au fur et à mesure qu'il avançait les gigantesques grilles de l'enclos à trépassés. Ses murs passaient au gris sale et inégal, et çà et là poussaient quelques plantes grimpantes, étreignant l'enceinte comme pour la faire s'écrouler. Une tignasse blonde redorait la feuille d'or écaillée par l'usure, et la jeunesse de son porteur rafraîchissait cette place morne et désolé :

*Une peine que ce lieu ne soit pas mieux entretenu, se dit Wraën, on ne fait pourtant badinerie avec les morts, alors pourquoi fait-on fi de leur demeure ? *

À peine eut-il le temps d'achever cette pensée que le jeune homme engagea la conversation et se présenta sous le nom d'Anric, fils de Danrek. L'ancien ferma les yeux un instant : il connaissait déjà le sujet qu'il allait devoir subir, qui plus est de la part d'un jeune insolent : ne lui avait-on jamais appris que l'on ne faisait pas remarquer le retard d'un aîné ? Et, pis encore, avait-il été élevé dans une porcherie pour ne pas savoir que toute substance fumable se partageait ? Tout cela mit le politicien dans un mécontentement profond, et il dut se retenir pour ne pas l'exprimer. C'est alors que le blondin le poussa, plus ou moins contre son gré, à rentrer dans le cimetière, afin « d'éviter les regards et oreilles indiscrètes ». Non seulement cela énerva un peu plus l'ancien, et ce fut alor qu'un embryon de méfiance s'installa au fond de ses entrailles. Ce petit noblondinet était bien trop pressé, et par-dessus tout bien trop impoli : le seigneur Danrek avait beau ne pas être de la plus fine fleur de la noblesse, il ne pouvait avoir éduqué son fils d'une telle manière ; ou alors ce devait être toute la haute société qui s'abaissait à un point inimaginable ! D'un geste discret, Wraën se massa l'épaule gauche avec la main droite. Une ombre passa.

Arrivés près d'une crypte, entre deux tombes, le jeune homme se retourna vers le vieil homme décrépit et commença à entreprendre la discussion, prenant force de ton au fur et à mesure qu'il monologuait :

- Pardonnez-moi cette convocation anonyme et si soudaine, par ailleurs, je vous en sais gré d'y avoir répondu...
* Allons bon, au moins il sait parler correctement... *
-...Mais voyez-vous... je préférais ne pas courir le risque de m'exposer ! Vous savez, quand on doit faire quelque chose qui va à l'encontre des lois, il est préférable de se faire discret, vous en conviendrez ?
* Tiens donc ? Continue, tu m'interresses... Un moyen de coincer ton père peut-être ? *
- Darenk est très remonté contre votre gouvernement, voici près d'un mois qu'il mendia de l'aide auprès du gouverneur Vultinien, et jamais ses suppliques n'eurent de réponse !
* Ça alors ! Comme s'il n'était pas assez grand pour se débrouiller seul ! *
- Alors, j'ai décidé d'agir de mon propre chef, car auquel cas vous ne l'auriez pas encore remarqué, nous sommes en guerre ! Quelque chose œuvre dans l'ombre à des fins destructrices, et cela doit être refoulé dans les plus brefs délais. Ainsi... permettez-moi de vous présenter le futur sieur Wraën !
- Comment !? S'étouffa le vieil homme.


Wraën se tourna vers l'individu qui surgissait lentement de sa crypte, tel une araignée sortant de sa tanière devant sa proie tétanisée. Le vieux n'en crut pas ses yeux, et fut même dégoûté de se voir plus vrai que nature ; mais il ne fut pour autant pas si surpris d'un tel coup tordu venant de la part du fils de Danrek : il savait que les moments désespérés pouvaient mener aux plus grandes folies. Mais soudain, à peine son ennemi eut-il le temps de proclamer ses ordres macabres que Nay'üssim sentit qu'il était violemment tiré vers l'arrière : son garde du corps, à la surprise de tous, s'était interposé au bon moment pour protéger l'ancien.
Le temps s'était alors arrêté, tout le monde était immobile. Chaque sourcil soulevé était prétexte à faire galoper les cœurs, en chaque lame miroitait le rose vespéral, et chacun était silencieux ; même les tombes qui les entouraient crissaient plus fort ! En nécropole, point de vie ne faisait signe, et pourtant, ce silence mortel tomba, lorsque, pas après pas, l'aîné s'avança tranquillement aux côtés de son garde. Il palpait la peur, la tension de ses assassins au fur et à mesure qu'il approchait, leurs souffles se faisaient plus longs, plus bruyants et leurs regards s'entrecroisaient de courts instants. Il serra sa poigne autour du pommeau de la deuxième épée portée à la ceinture de son garde, et, avec une infinie précaution, retira le fer de son fourreau comme si c'eut été fait de porcelaine. L'ennemi avait encore l'air d'hésiter. Wraën communiqua quelques brèves paroles inaudibles à son acolyte, et se tourna vers les hommes armés lui faisant face :

- Messieurs,commença-t-il d'une voix à la fois mielleuse et autoritaire, ce soir, vous pourriez rejoindre toute cette assemblé qui nous entoure -geste circulaire-, si jamais, au grand malheur, vous nous affrontez ce soir ici même, car se tient à ma droite l'une des plus fines lames du royaume, et moi-même, malgré mon grand âge, pourrait vous surprendre par quelques coups d'estoc dont j'ai le secret. De plus, vous rendez-vous compte pour qui et quelle cause vous battez-vous ? Un pauvre jeune noble écervelé et capricieux qui ne fait rien d'autre que de se mêler aux jambes de son père ! Je ne vous ferais pas remarquer non plus son impolitesse ! Par ailleurs, si jamais il ne s'agit là que d'une affaire d'argent -ne prenez pas cela comme insulte ou dédain!-, songez à tout ce que je puis vous offrir pour la capture de ce jeune homme sans talents et sans véritables atouts ! Je vous conseille vivement de réfléchir à deux fois à mes dires, car je ne souhaite jamais que votre plus grand bien, et il serait bon que le sang n'ait pas à tâcher ce lieu de repos...

Il finit par relâcher son souffle. Ce discours pouvait bien être le dernier qu'il ait eu à improviser...
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MessageSujet: Re: Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme   Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme Icon_minitime1Dim 1 Avr - 2:07

Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme Conta10

Le vieux croulant pensait réellement avoir le dessus avec son seul et unique garde du corps ? À l'entendre, il en était certain en tout cas. Mais ce que Anric ne put tolérer, ce fut lorsque sa future victime tenta de convaincre ses mercenaires de le servir en leur promettant davantage d'argent ! Une stratégie pour le moins bancale, à savoir qu'ils avaient déjà été plus que bien payé, sans oublier d'ajouter qu'une autre part leur sera remise une fois le travail accompli. Pauvre papi, se dit le jeune homme. Sur le coup, il en eut presque pitié ! Le malheureux n'avait plus toute sa tête, il n'y avait qu'à le voir pour y déceler une once de folie. Le vieillard devait sans doute encore se croire dans sa folle jeunesse, là où la gloire était pour lui un pain quotidien. Mais désormais qu'était-il ? Un fantôme hantant le palais du gouverneur, faisant parfois quelques apparitions avant de se volatiliser derechef. Pfff, il serait plus heureux mort, alors à quoi bon résister ?!

- À votre âge vous essayez encore de défendre votre vieille carcasse décrépie ? Se moqua Anric. C'est louable, mais je me dois hélas plonger les mains dans le cambouis en vous tuant. Tâchez juste de ne pas vous faire dessus lorsque je vous étranglerai !

Le fils légitime de Darenk n'était pas un adepte du sale travail, son regard empli de dégoût en attestait très largement. Toutefois, il était également prêt à tout pour obtenir ce qu'il voulait. Et pour cause, lorsque son père était fier de lui, il ne lésinait plus sur les cadeaux et autre offrande ; genre des femmes ! Ainsi, même si il fallait passer par l'assassinat d'un vieux débris, Anric s'y lancerait corps et âme. Enfin... dans une certaine mesure.

- Assez parlé à présent ! Ajouta t-il en tapant par deux fois dans ses mains. Vous tr....

Interrompu en plein élan par la froideur d'une lame placé sous sa gorge, Anric ne fit rien d'autre qu'avaler sa salive, la laissant couler le long de son gosier à présent trop étroit pour émettre le moindre son. Sur l'instant, le jeune homme pensa à un second assassin à la solde de Wraën, mais pire que cela... il s'agissait en fait d'un de ses mercenaires si généreusement payé par ses soins. Mais qu'est-ce qu'il lui prenait à ce fou ? Il n'allait tout de même pas se retourner contre son patron pour quelques Nitsed's ? Bon d'accord... les hommes de ce genre ne faisaient que courir après l'argent, mais tout de même ! Avec ce qu'il avait déjà en poche, il pouvait aisément s'acheter une maison dans les bas quartiers de Nandis... Ou alors, ce n'était qu'un traître depuis le début ! Se rassurant à cette idée, Anric se reprit puis ordonna aux autres de liquider l'indocile. Mais à peine eut-il prononcé trois mots, que deux autres lames s'en vinrent rejoindre la première...

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D'un regard noir, l'homme d'arme fit comprendre au garçonnet de se taire, sans quoi, sa vie le quitterait dans un flot de sang. Torg était une personne très pragmatique, mais plus que ça, il était prudent ! Originaire de Nandis, et donc ayant laissé traîner ses oreilles un peu partout, il savait que Wraën disait la vérité à propos de son assassin personnel. Et oui, le bougre avait déjà sévi par le passé ! Alors à choisir entre l'argent ou la mort... nulle question n'était à se poser. Torg se fichait complètement de ce que pourrait advenir de la politique si jamais le gamin venait à périr, donc changer de camp n'était pas un problème pour lui.

- Arrête de jouer au petit chef va ! Dit-il en brutalisant le bras d'Anric d'une forte étreinte. Jusque là j'ignorais tout de ton plan vaseux, mais en le découvrant, laisse moi te dire une bonne chose ! Je te pisse à l'arrêt ! Puis après un court instant de silence, Torg reprit de plus belle. Non mais franchement, où es-tu allé pêcher une idée aussi saugrenue ?

- Arrêtez... obéissez-moi et rangez vos armes ! Tenta vainement le jeune homme à présent fébrile.

- Ecoutez-le ! Pauvre petit va ! Grogna le mercenaire, avant de se tourner en direction de Wraën. Combien tu paies ?!

Anric ne comprenait rien à ce qu'il se passait, lui qui avait pourtant toutes les ficelles en main... comment avait-il pu se retrouver en une telle position de faiblesse ? Torg n'était pas payé pour penser, mais pour agir ! Alors qu'est-ce qu'il venait à faire sa loi celui-là ?! Mais le plus frustrant était de savoir que maintenant sa vie dépendrait du bon vouloir du vieux... alors ça vraiment, c'était une insulte encore inédite dans sa lignée ! Quant au double de Wraën, doucement il s'était reculé afin de s'en retourner dans l'ombre de sa crypte... ni vu ni connu, pensait-il.

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MessageSujet: Re: Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme   Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme Icon_minitime1Ven 21 Sep - 16:38

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MessageSujet: Re: Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme   Le ciel est, par-dessus la ville, si beau, si calme Icon_minitime1

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