Lolth, Grande et Puissante Déesse... Je ne vous connaissais pas avant de débarquer dans ce monde et je dois avouer que vous êtes de loin la plus attirante des Déesses. Enfin... Je n'en connais aucunes autres divinités que vous, Lolth, mais mon choix est quand même vite fais. Je haïs les discours mais je ne sais pas trop quoi dire tellement il y a de chose, je me perds. En passant outre votre physique, vous êtes investie d'une immense bonté qui a laissé la vie à un des participants et lui avez tendus une chance de continuer. En apprenant de son erreur de par votre acte, j'espère qu'elle saura s'élever au plus haut rang. J'ai hâte de voir vos prochaines épreuves afin de vous prouver à quel point je serai capable de vous faire face mais je ne pense pas égaler votre puissance, jamais de la vie... Ma foi, après tout, j'espère rester en vie après toutes les épreuves afin de rester auprès de vous jusqu'au bout, Chère Déesse. Mais qu'est-ce que j'adore les araignées par contre... C'est pour tout ce que je viens de citer que je vous idole, Ò Lolth.

Reine araignée, déesse de mon peuple, toi dont la Foi a bercé mon enfance, laisse à un être égaré, une enfant qui croyait tout savoir, la possibilité de reprendre le chemin des siens. Déesse implacable, déesse souveraine, vous trouverez peut-être des hésitations et des blancs dans ces éloges à votre grâce, mais sachez que c’est uniquement de par votre divine présence, Ô Reine Araignée, qui nous fait constater à quel point nous autres, ne pourrons jamais vous rendre la grâce qui est votre. Quels mots pourraient exactement dire le respect et la crainte que vous m’inspirez ? Vous avez parlé d’amour, mais l’amour n’a pas sa place en ce qui vous concerne déesse, l’un de vos dogmes n’est-il pas, après tout : "la peur est forte comme l’acier, alors que l’amour est doux et inutile". Je ne parlerais donc pas plus de l’amour. Votre puissance après tout, vient des défis que vous mettez sur notre route pour nous éprouver, pour nous faire vous prouver notre loyauté en votre personne. Déesse aux multiples facettes, malice, obscurité et tant d’autres encore… Reine, par ma race, vous m’avez offert un présent inestimable. Ce n’est pas la vie, cette chose qui, au fond n’est là que pour vous servir, c’est ce délicieux goût de violence et de massacre que je ressens et qui peut être vu comme un véritable don. Mais plus encore, c’est cette haine et cette fourberie qui coule dans mes veines, ces sentiments que votre volonté alimente.
Déesse souveraine, toute puissante divinité des Drows, tes désirs sont des ordres, ton culte est le seul véritable, ta supériorité sur toute chose est incontestée. C'est pourquoi à travers les épreuves que vous dressez sur mon chemin, j'espère me montrer digne de vous, digne de l'admiration, la crainte et le respect que vous m'inspirez.

Loth. Rien que ce nom résonne à mes oreilles comme un tintement de cristal, doux et harmonieux. Mais ce nom n'est rien comparé à la personne qui le porte. Vous incarnez pour moi tout ce qu'il y a de plus beau en ce monde. Personne ne vous surpasse, personne ne vous égale, personne ne vous arrive à la cheville ! Dès que je suis rentré ici, j'ai su que j'avais affaire avec la plus grande et la plus belle de toutes les déesses du royaume d'Astrune ! Je ne me suis pas trompé ! Nous devrions nous montrer honorés de pouvoir vous approcher, vous parler ! Nous ne sommes certainement pas dignes de tout ça !

Chère déesse, votre physique aussi est parfait. Votre visage fin et gracieux met en valeur le reste de votre corps arachnéen. De tous les insectes vivants en ce monde, l'araignée est sans doute celui que je préfère, depuis que je vous ai vu.

Vous présidez la Nisty Fortress d'une main de maître et personne ne saura vous égaler, ni par sa bonté d'âme, ni par son courage, et encore moins par sa beauté ou son intelligence.
Pour finir, je voudrait ajouter que si mon éloge est bancalen c'est uniquement car je n'arrive pas à ordonner mes idées en votre si grande et honorable présence, tant elle me bouleverse !

Loth. Rien que ce nom résonne à mes oreilles comme un tintement de cristal, doux et harmonieux. Mais ce nom n'est rien comparé à la personne qui le porte. Vous incarnez pour moi tout ce qu'il y a de plus beau en ce monde. Personne ne vous surpasse, personne ne vous égale, personne ne vous arrive à la cheville ! Dès que je suis rentré ici, j'ai su que j'avais affaire avec la plus grande et la plus belle de toutes les déesses du royaume d'Astrune ! Je ne me suis pas trompé ! Nous devrions nous montrer honorés de pouvoir vous approcher, vous parler ! Nous ne sommes certainement pas dignes de tout ça !

Chère déesse, votre physique aussi est parfait. Votre visage fin et gracieux met en valeur le reste de votre corps arachnéen. De tous les insectes vivants en ce monde, l'araignée est sans doute celui que je préfère, depuis que je vous ai vu.

Vous présidez la Nisty Fortress d'une main de maître et personne ne saura vous égaler, ni par sa bonté d'âme, ni par son courage, et encore moins par sa beauté ou son intelligence.
Pour finir, je voudrait ajouter que si mon éloge est bancalen c'est uniquement car je n'arrive pas à ordonner mes idées en votre si grande et honorable présence, tant elle me bouleverse !

Que puis-je dire sur votre magnificence inexorablement visible ? Il me faudrait des années afin de vous louanger en conséquence de votre telle prestance d'impératrice. Aurait-je le droit de prendre quelques minutes afin de tonner votre tel charisme en espérant ne pas vous faire perdre votre divin temps ? Si votre précieuse réponse est positive, je vais pouvoir me délecter de votre écoute tant méliorative. Je vous respecte et prie votre attention depuis des années qui ont été merveilleuse grâce à votre présence dans mon pauvre coeur d'humaine. Mais mon cas vous importe peu puisque votre telle personne vaut des milliers de vie humaine, elfique et autre race tant médiocre face à cette oeuvre d'art à qui j'ai l'honneur d'arguer.En premier lieu, votre physique faisant ronger de jalousie les femmes les plus belles de ce monde et d'envie les hommes les plus séduisants de votre univers car après tout, le monde vous appartient. Quand vous êtes dans une pièce, tous les regards se promène sur vous et vous le savez parfaitement bien. Dans nos yeux, ceux des êtres inférieurs à vous, une constellation d'étoile s'illuminant à votre vue. Vous nous faites un magnifique cadeau, effectivement, vous nous laisser, vous la généreuse, vous la belle immaculée, vous la scintillante, le droit même l'honneur de vous voir. Nous permettre cela, une chance comme celle-ci ne peut être au rendez-vous qu'une seule fois dans nos minable vie. En retour, nous ne pouvons que vous confier celles-ci en hommage à cette déesse que vous êtes. Vous êtes comme sur une scène, vos pas s'enchaîne et nous vous observons la bouche ouverte.
De plus, votre intelligence prouve votre gigantesque valeur tant pour nous que pour la vie elle même. Que serait le monde sans vous ? Quelque est en mesure de répondre ? Bien sûr que nous car ce n'est pas envisageable, Oh que non.

Moi, Melrose, je n'ose pas utiliser mon nom car il ne vaut rien comparé au votre : Lolth. Une sonorité jouissive pour nos oreilles. Une mélodie dont on ne peut refuser l'écoute, dont on ne peut nier la beauté, dont on ne peut l'associer à votre corps, votre caractère, votre sagesse. En ce moment, je prends peine à salir ma robe afin de m’agenouiller car j'ai honte, honte de ne pas pouvoir demeurer comme votre image si, si parfaite. Dans vos cas, la perfection n'est, Oh que non, un défaut. Je suis craintive, pusillanime, couarde, peureuse, poltronne, timorée, trouillarde mais vous présence me donne du courage. Vous êtes la conception de la perfection incarnée. Madame, veuillez agréer l'assurance de mon respect le plus distingué. Merci.

En voilà une sacrée épreuve, je n'ai même pas besoin d'être hypocrite, car mes véritables pensées vous concernant suffiront à votre éloge... Cela peut paraître paradoxale, mais voyez plutôt ce qui suit. Je vais vous offrir un cadeau spécial rien que pour vous; je vous offre mon humiliation, ou plutôt, je vais vous décrire ouvertement ma crainte envers vous, qui ne fera que confirmez la puissante qui vous habite et que vous incarnez.

Voyez-vous grande déesse, en temps que humble demi-elfe d'Astrune, je vous respecte déjà en tant que divinité, c'est-à-dire par votre nature même, à savoir un être supérieur au commun des mortels doté d'une grande puissance. Etant moi-même une mage, j'accorde de l'importance à la puissance magique qui me fascine, et vos grands pouvoirs attisent ma curiosité et mon admiration. Seulement, je suis d'alignement totalement opposé au votre, et pour cela je suis en total désaccord avec ce dont vous en faite. Je vous admire donc à la fois autant que je vous redoute. Je suppose que de savoir que vous susciter en moi la peur au plus haut point vous confortera dans votre estime envers vous-même déjà grande.

Pour vous combler davantage tout en restant sincère, voici la suite. Pour tout vous dire, je vous vois comme une beauté froide, comme une vraie araignée tant de l'extérieur que de l'intérieur. Un corps de déesse enveloppant un machiavélisme dépassant toutes les normes. Pour votre physique, il est vrai que votre silhouette est fine et que vous incarnez parfaitement bien votre espèce. Un visage fin délicatement dessiné comme l'on en voit rarement, des membres à l'image des êtres que vous contrôlez. A vous voir ainsi, je peux vous définir comme sublime, à l'instar des milliers d'araignées qui peuplent Astrune, dont les belles couleurs varient pour mieux tromper l'ennemi. Des petits êtres en apparence fragiles mais si dangereux et mortels si l'on n'y porte pas plus d'attention. Les araignées me fascinent autant que j'en ai une peur affreuse, et vous en êtes la reine.

Votre intérieur est d'une noirceur et d'une cruauté sans nom à me glacer le sang rien qu'à entendre votre prénom. Je l'admets, je vous crains et vous m'horrifiez: et votre ambition à toute épreuve y en est pour beaucoup. Vous qui régnez en ces lieux, vos épreuves sont plus redoutables les unes que les autres et la tension est palpable. Un endroit impitoyable où l'on doit se battre jusqu'à la mort pour survivre et prouver notre valeur. Si tel doit être l'esprit de votre forteresse, alors sachez que vous nous le transmettez à la perfection. En tant que candidate en totale immersion en ces lieux, je puis vous l'affirmer sans réserve. Et oui, vous êtes pour mon plus grand malheur un être réfléchi d'une intelligence suprême qui vous permet de répandre le mal à merveille. Mon instinct me dit que vous vous délectez actuellement de mes dires. De savoir que vous êtes toute puissante, que vous suscitez la peur chez vos ennemis et qu'à la fois ils veulent vous combattre, ainsi vous pourrez mieux les écraser ensuite.

Quelle admirable épreuve sur laquelle je suis en train d'écrire... En effet, j'ai choisi de rester sincère pour mieux vous complimenter, pour me mettre à table et vous dire ce que je ressens même si mon orgueil m'en empêcherait dans ce genre de cas. Oui, j'ai peur, et je suis sure que c'est un sentiment que vous pouvez ressentir. Délectez vous en, je vous l'offre si cela peut vous satisfaire. Je vous déteste au plus haut point de par vos actes opposés au mien, mais je puis vous dire que si Loominëi est l'incarnation parfaite du bien, vous en êtes à la même hauteur si ce n'est plus encore, celle du mal. Je suis en train d'écrire ma porte de sortie, ou mon épitaphe pour mon prochain trépas. Et ceci achève mon récit ou ma vie, selon votre bon vouloir. De toutes les divinités dont j'ai pu entendre parler jusqu'à présent, vous êtes de loin celle que je redoute le plus.

Eloge, hypocrite mais sans mentir... Je dois réussir l'épreuve, alors me voici devant vous grande déesse de cette forteresse et bien d'autres domaines encore. Je commencerai par le début, votre image, qui est celle évidente d'une araignée. Je n'ai rien contre ces petites créatures. Elle font parties des êtres vivants de la nature que je chéris tant. Et votre corps si bien dessiné en est la représentation parfaite. Bien sur vous répandez le mal, mais cela ne me dérange aucunement. Chaque être est unique et a sa propre personnalité et vocation, et vous vous démarquez de très loin. Selon moi, si l'on fait un choix où si l'on représente une idéologie, il faut aller jusqu'au bout. Et c'est ce que vous faites, vous assumez sans honte l'être divin que vous êtes, vous avez de l'ambition et vous ne faites pas les choses à moitié, vous exécutez vos dires et vos pensées sans le moindre regret ou la moindre réserve. La forteresse en est un exemple vivant, et encore, elle n'est qu'un fragment de l'étendu de vos pouvoirs.

Rien que pour cela, je vous admire, moi qui suis perdue, presque pitoyable dans ce monde à la recherche de mon passé. Les Divinités du monde céleste ont de bien belles idées toutes roses pour ce monde, qui feraient sans doute beaucoup de bien si elles étaient appliquées. Malheureusement leur conscience leur interdit d'aller trop loin dans leur actes sous peine de détruire des vies ou de commettre des erreurs. L'avantage avec le mal, et surtout avec vous, c'est qu'il est mis en application directement sans détour. Et vous, grande déesse, vous dites quelque chose, vous le faites. Vous ne décevez pas ceux qui vous servent, et c'est là une qualité que vous êtes l'une des seules à posséder. Une belle mise à mort promise vaut mieux que des espoirs brisés. Je vous crains car vous détenez ma vie entre vos mains, mais peu importe l'issu de cette épreuve, j'espère que ceci vous confortera que vous êtes la plus grande dans la noirceur et intelligence que vous excercez.

Oh ben ça va, Mille Patte ? J'ai l'impression que vos chevilles vont éclater à force d'entendre des gens vous dire tant de chose douces et gentilles sur vous. M'enfin, vous croyez vraiment que je vais jouer les hypocrites ? Ce n'est surtout pas mon genre, désolée pour vous Miss Lolth. Vous aurez beau avoir la face d'une vilaine araignée ou tirer la plus affreuse des grimaces, je n'ai pas peur de vous. Bien au contraire, je vous admire. Pas la peine de laisser vos chevilles enfler davantage, je n'irai pas vraiment plus loin, ce n'est pas nécessaire. Cependant, malgré moi, je dois avouer que je ne suis pas si déçue que ça d'être parmi tout ce beau monde ici à risquer ma vie et voir celle des autres êtres prises. C'en est même plutôt amusant, malgré le côté dramatique du jeu et le fait de perdre nos compagnons. Vous avez été certes maladroite à la précédente épreuve mortelle mais je pense bien que vous aviez pitié des faibles que nous sommes et préfériez faire durer notre souffrance. Ce qui ne m'étonnerait pas du tout de la part d'une si grande personnalité comme vous.

Ainsi dit, je sais parfaitement que vous serez bien plus cruelle maintenant et que cela vous amuse de nous voir nous tortiller devant vous afin de dire des choses bien sur la Déesse du Mal que vous êtes. Je n'en ai pas peur du verdict, vous connaissez ma nature, je ne suis pas si différente de vous au fond finalement. Peut être parce que je possède un coeur, ce qui me rend faible contrairement à vous qui faite abstraction de tout et allez là où vous le voulez pour faire ce que vous voulez. C'est un point fascinant que j'aime chez vous, directe, franche... Je crois que c'est un peu près tout ce que j'ai à dire vous concernant Mille Pattes. Épatez-moi donc, comme depuis le début, pour la suite du jeu et montrez-moi la cruauté qui vous investi ainsi que l'imagination de vos tortures les plus folles en ces lieux. J'en tremble d'excitation tellement j'ai hâte de voir le mal qui vous habite.

Invitez-moi dans votre monde de folie et laissez-moi voir à quel point vous êtes effrayante bien que la simple prononciation de votre nom est déjà une souffrance pour certains. Laissez-vous aller... J'en meurs d'envie d'endurer les prochaines épreuves délicatement élaborées par vous-même, Déesse Lolth.

Ô doux ténèbres qui m’enivrent, ô douces pattes qui m'étreignent, quel langage ne peut être barbare et insultant quand il s'agit de Te décrire ? Tu es si grande, si belle, si délicieuse, si sensuelle, si envoûtante; que jamais nos mots, ici-bas, ne pourraient ne serait-ce qu’effleurer Ta personne. Aussi, permet-moi, ô merveille sempiternelle, de Te tutoyer, afin que l'être vil et laid que je suis puisse avoir l'illusion de se sentir proche de Ta lointaine froideur, et apprécier les bribes de souffle divin que Tu daignes me laisser.

Ô semeuse de mort et de chaos, juste fin des cycles de nos misérables vies et justice plus brillante encore que celle de la déesse Maât, Te contempler me rend amoureux de Ton être spirituel, de Tes formes féminines et arachnides ainsi que de Ta ténébreuse radiance : je Te désire plus que tout au monde, mais cela est, à mon grand désespoir, impossible ! Je veux alors Te servir, Toi et Ta grandeur, je veux être Ton esclave, celui de Ton envergure et de Ton empire qui n'est autre qu'Astrune, dusse-je souffrir jusqu'à la fin des temps, tant que cela est auprès de Toi, Lolth, Toi qui surpasses tous les amours que j'ai pu éprouver jusqu'ici, même cette Ania, maudit être de fiel à côté de la douce saveur suave qu'offrent Tes enfers !

Ainsi, c'est avec les plus grands regrets que je dois m'arrêter là, et reprendre ma place d'insecte contemplant les cieux nocturnes, dont Tu es le noir manteau dévorant les astres, car tout autre Dieu, aussi lumineux soit-il, ne pourra que s'effacer sous Ton charme des plus diaboliques. Alors, belle déesse, donne-moi Ton verdict, et je serais infiniment heureux que Tu me dévores si jamais l'un de mes dires T'ont offensé ne serait-ce qu'un instant...

[HRP: Je précise que les "T" sont volontaires, pour ajouter de la grandeur à la meilleure des déesses!^^]

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Tout est dit, mais avant de me sustenter ! On commence par éviscérer Caïmassëa ! Tu n'as pas participer, alors que les règles étaient clairement établies ! Je ne me montrerais pas clémente envers toi, que tu sois nouvelle ou non ! Ceci étant dit...

*Lui tranche le bas du ventre à l'aide d'une de ses pattes, laissant ainsi les intestins se déverser telle une coulée de boue*

Que c'est charmant ! Bien ! Et si je passais à table maintenant ?! *Descend de son immense toile pour s'en aller rejoindre Mayufu* On va voir si ton cri est plus élaboré que ton discours ! Alors que Lolth s'apprêtait à la croquer, un bond terrifiant exécuté par cette dernière fit perdre toute notion sur son choix. Elle venait de fondre sur Allyriane, laquelle s'était retrouvée dos contre terre, juste en dessous de Lolth ! Je t'avais dit que je te réservais mon jugement ! Puis sans attendre, la Déesse araignée dévora la Vampire qui termina en cendre, après deux longues minutes d'agonie.

Vous devrez votre prochaine épreuve à Mayufu !